Alors que les interdictions se multiplient dans les bars et restaurants, la direction de Capgémini exige des salariés qui pourraient être en télétravail de se rendre deux jours par semaine à leur bureau. Or la mise en place du flexi-bureaux qui consiste à partager un bureau entre plusieurs salariés, n'offre aucune garantie sanitaire. Des contaminations ont d'ailleur été déclarées, sans que la direction ne réagisse. La CGT a donc décidé de lancer un droit d'alerte pour danger grave et imminent.
Entretien avec Robert Amade CGT Capgémini.
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